Le respect des personnes et de la planète
Loin de n’envisager que la seule dimension économique de leurs pratiques, les acteurs et actrices de l’ESS et de la transition y intègrent au contraire des préoccupations extra-économiques de type environnemental. C’est tout un écosystème coopératif qui se met en place, le bien-être des individus qui produisent et distribuent les produits ou services étant tout autant recherché que l’équilibre et la durabilité de l’environnement dans lequel cette production s’opère et les êtres vivants prospèrent.
Pour les films rencontrés sur ce chemin qui s’intéressent aux différentes incarnations de cette valeur primordiale du respect des personnes et de la planète, il s’agit de regarder à la fois à l’échelle collective de la société concernée et de voir plus grand, à l’échelle de la planète tout entière, de l’environnement et de ses écosystèmes.
Sentiers :
Films dans Tessa
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Simplicité volontaire et décroissance
Jean-Claude Decourt, 2008
20 % de la population mondiale consomment 86 % des ressources naturelles, dont la moitié a déjà disparu en un siècle. Pour sauver la planète, il est urgent d’en finir avec le capitalisme et de commencer à décroître.
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Semailles, un jardin de cocagne
Jean-Louis Léone, 2006
À travers la production de légumes biologiques, les Jardins de Cocagne permettent à des adultes de trouver un emploi et de construire un projet personnel.